[Livre] La découverte de l'Archipel tome VI
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[Livre] La découverte de l'Archipel tome VI
La découverte de l'Archipel de Pertevue, tome sixième
Par Kalar Guio, secrétaire de Huriul, diplomate au service de l'Empereur
La nuit passée à Kéra-Solec fut magnifique. Je ne sais pas ce qu'il en fut pour les autres et je ne peux m'engager pour eux, mais je me rapelle que dans mon cas, elle fut bercée par de doux rêves en parfait accord avec l'exotisme du lieu et de son peuple. Nous fûmes servis comme des princes, chaque membre de l'expédition ayant droit à des égards digne des plus grands diplomates de l'empire.
Avant de rencontrer à nouveau le roi dans le courant de la journée du lendemain, nous avons discuté de ce que nous attendions de ces entrevues. Les militaires voulaient qu'on parle tout de suite en terme de traités et de résultats rapides:
- Nous savons que l'Archipel est habité dorénavant et qu'a cause de ça,on va devoir composer avec eux pour créer un fort dans l'Archipel. Nous devons rapidement obtenir l'autorisation de construire un avant-poste renforcé sur l'île ou dans les environs. Nous avons besoins de savoir aussi si nous pourrons compter sur l'aide de ces gens pour les travaux. Vous savez bien que les autorités impériales ont autorisé cette expédition uniquement dans ce but!
- Attendez capitaine, tempérait mon maître, nous ne savons encore que peu de choses de ce peuple. Leur parler tout de suite d'une implantation militaire risquerait de les brusquer, surtout avec ce que nous savons de leur précédente rencontre avec les nordiques. Je pense à chacune de mes paroles aux accords à venir, croyez-moi. Mais sachez qu'il faudra quelques jours avant d'obtenir quoi que ce soit de tenable.
C'est dans ces conditions un peu tendues entre les militaires impériaux et les civiles de la mission que les négociations reprires.
Car ce furent des négociations ce jour-ci. Conformément aux espérances des soldats, les Wyrmers voulurent également passer aux choses concrètes. Ils avaient prévus de parler à plusieurs d'entre nous séparément. En fait, comme trois personnes parlaient notre langue, trois groupes furent formés. Le premier fut celui des savants qui se rendirent au siège de la société de savants wyrmers, le second fut composé des responsables de l'organisation, afin de gérer les questions de l'approvisionnement de notre expédition, de notre logement, et de ce qu'aller advenir de notre premier pied à terre. Enfin le troisième, autour de mon maître, s'entretenu avec le roi au sujet des questions plus déterminantes sur le long terme.
- Notre solec désire que nous parlons de l'avenir. Quel avenir pour nos deux peuples à présent?
- Nous ne pouvons plus nous ignorer maintenant que la distance et l'océan ne nous sépare plus. Nos destins sont liés et nous devons tous faire front commun pour protéger votre archipel de la menace de Akavir, notre ennemi commun.
- Nous ne connaissons pas ce peuple, nous n'avons pas d'ennemi. Ils ne sont jamais venu ici.
- Malheureusement, je ne peux que le craindre. Si les nordiques d'abord, puis nous ensuite, n'avons découvert votre île, ce n'est qu'une question de temps pour que les monstres d'Akavir ne viennent ici. Et croyez-moi, je ne veux pas vous affoler, mais les akavirois sont loins d'avoir votre raffinement et le notre. Il n'y aura pas de négocitation, il n'y en a jamais eu avec eux. Ils envahiront et feront de vous leur esclaves, comme ils l'ont déjà en Tamriel par le passé. Fasse à cette menace, nous avons tout intérêt à coopérer.
La journée s'acheva après que mon maitre est habilement convaincu les wyrmers du danger que représentait leur proche voisin inconnu. Le roi wyrmer paraissait imprésionnait par les descriptions des êtres reptilien du continent oriental. Mon maitre avait habilement renforcé le côté dramatique de la chose en demandant au chef milmitaire de narrer les batailles contre ces monstres. Il avait pu ainsi faire l'étalage des beaux discours enseignés à l'académie sur les plus grandes batailles du genre humains contre les monstres venus d'ailleurs.
En cette fin de journée, les négociations avaient déjà abordés le champ du concret et la scession d'un territoire pour notre implantation était, je le crois du moins, autant dans nos esprit que dans celui des wyrmers à présent.
Suite dans le tome VII.
Par Kalar Guio, secrétaire de Huriul, diplomate au service de l'Empereur
La nuit passée à Kéra-Solec fut magnifique. Je ne sais pas ce qu'il en fut pour les autres et je ne peux m'engager pour eux, mais je me rapelle que dans mon cas, elle fut bercée par de doux rêves en parfait accord avec l'exotisme du lieu et de son peuple. Nous fûmes servis comme des princes, chaque membre de l'expédition ayant droit à des égards digne des plus grands diplomates de l'empire.
Avant de rencontrer à nouveau le roi dans le courant de la journée du lendemain, nous avons discuté de ce que nous attendions de ces entrevues. Les militaires voulaient qu'on parle tout de suite en terme de traités et de résultats rapides:
- Nous savons que l'Archipel est habité dorénavant et qu'a cause de ça,on va devoir composer avec eux pour créer un fort dans l'Archipel. Nous devons rapidement obtenir l'autorisation de construire un avant-poste renforcé sur l'île ou dans les environs. Nous avons besoins de savoir aussi si nous pourrons compter sur l'aide de ces gens pour les travaux. Vous savez bien que les autorités impériales ont autorisé cette expédition uniquement dans ce but!
- Attendez capitaine, tempérait mon maître, nous ne savons encore que peu de choses de ce peuple. Leur parler tout de suite d'une implantation militaire risquerait de les brusquer, surtout avec ce que nous savons de leur précédente rencontre avec les nordiques. Je pense à chacune de mes paroles aux accords à venir, croyez-moi. Mais sachez qu'il faudra quelques jours avant d'obtenir quoi que ce soit de tenable.
C'est dans ces conditions un peu tendues entre les militaires impériaux et les civiles de la mission que les négociations reprires.
Car ce furent des négociations ce jour-ci. Conformément aux espérances des soldats, les Wyrmers voulurent également passer aux choses concrètes. Ils avaient prévus de parler à plusieurs d'entre nous séparément. En fait, comme trois personnes parlaient notre langue, trois groupes furent formés. Le premier fut celui des savants qui se rendirent au siège de la société de savants wyrmers, le second fut composé des responsables de l'organisation, afin de gérer les questions de l'approvisionnement de notre expédition, de notre logement, et de ce qu'aller advenir de notre premier pied à terre. Enfin le troisième, autour de mon maître, s'entretenu avec le roi au sujet des questions plus déterminantes sur le long terme.
- Notre solec désire que nous parlons de l'avenir. Quel avenir pour nos deux peuples à présent?
- Nous ne pouvons plus nous ignorer maintenant que la distance et l'océan ne nous sépare plus. Nos destins sont liés et nous devons tous faire front commun pour protéger votre archipel de la menace de Akavir, notre ennemi commun.
- Nous ne connaissons pas ce peuple, nous n'avons pas d'ennemi. Ils ne sont jamais venu ici.
- Malheureusement, je ne peux que le craindre. Si les nordiques d'abord, puis nous ensuite, n'avons découvert votre île, ce n'est qu'une question de temps pour que les monstres d'Akavir ne viennent ici. Et croyez-moi, je ne veux pas vous affoler, mais les akavirois sont loins d'avoir votre raffinement et le notre. Il n'y aura pas de négocitation, il n'y en a jamais eu avec eux. Ils envahiront et feront de vous leur esclaves, comme ils l'ont déjà en Tamriel par le passé. Fasse à cette menace, nous avons tout intérêt à coopérer.
La journée s'acheva après que mon maitre est habilement convaincu les wyrmers du danger que représentait leur proche voisin inconnu. Le roi wyrmer paraissait imprésionnait par les descriptions des êtres reptilien du continent oriental. Mon maitre avait habilement renforcé le côté dramatique de la chose en demandant au chef milmitaire de narrer les batailles contre ces monstres. Il avait pu ainsi faire l'étalage des beaux discours enseignés à l'académie sur les plus grandes batailles du genre humains contre les monstres venus d'ailleurs.
En cette fin de journée, les négociations avaient déjà abordés le champ du concret et la scession d'un territoire pour notre implantation était, je le crois du moins, autant dans nos esprit que dans celui des wyrmers à présent.
Suite dans le tome VII.
Re: [Livre] La découverte de l'Archipel tome VI
en cours de correction
tiaremoana- Nombre de messages : 116
Date d'inscription : 03/05/2006
Re: [Livre] La découverte de l'Archipel tome VI
La découverte de l'Archipel de Pertevue, tome sixième
Par Kalar Guio, secrétaire de Huriul, diplomate au service de l'Empereur
La nuit passée à Kéra-Solec fut magnifique. Je ne sais pas ce qu'il en fut pour les autres et je ne peux m'engager pour eux, mais je me rappelle que dans mon cas, elle fut bercée par de doux rêves en parfait accord avec l'exotisme du lieu et de son peuple. Nous fûmes servis comme des princes, chaque membre de l'expédition ayant droit à des égards digne des plus grands diplomates de l'empire.
Avant de rencontrer à nouveau le roi dans le courant de la journée du lendemain, nous avons discuté de ce que nous attendions de ces entrevues. Les militaires voulaient qu'on parle tout de suite en terme de traités et de résultats rapides:
- Nous savons que l'Archipel est habité dorénavant et qu'a cause de ça, on va devoir composer avec les autorités locales pour implanter un fort dans l'Archipel. Nous devons rapidement obtenir l'autorisation de construire un avant-poste renforcé sur l'île ou dans les environs. Nous avons besoin de savoir aussi si nous pourrons compter sur l'aide de ces gens pour les travaux. Vous savez bien que les autorités impériales ont autorisé cette expédition uniquement dans ce but!
- Attendez capitaine, tempérait mon maître, nous ne savons encore que peu de choses de ce peuple. Leur parler tout de suite d'une implantation militaire risquerait de les brusquer, surtout avec ce que nous savons de leur précédente rencontre avec les nordiques. Je pense à chacune de mes paroles aux accords à venir, croyez-moi. Mais sachez qu'il faudra quelques jours avant d'obtenir quoi que ce soit de tenable.
C'est dans ces conditions un peu tendues entre les militaires impériaux et les civils de la mission que les négociations reprirent.
Car ce furent des négociations ce jour-ci. Conformément aux espérances des soldats, les Wyrmers voulurent également passer aux choses concrètes. Ils avaient prévus de parler à plusieurs d'entre nous séparément. En fait, comme trois personnes parlaient notre langue, trois groupes furent formés. Le premier fut celui des savants qui se rendirent au siège de la société de savants wyrmers, le second fut composé des responsables de l'organisation, afin de gérer les questions de l'approvisionnement de notre expédition, de notre logement, et de ce qu'aller devenir de notre premier pied à terre. Enfin le troisième, autour de mon maître, s'entretint avec le roi au sujet des questions plus déterminantes sur le long terme.
- Notre solec désire que nous parlions de l'avenir. Quel avenir pour nos deux peuples à présent?
- Nous ne pouvons plus nous ignorer maintenant que la distance et l'océan ne nous sépare plus. Nos destins sont liés et nous devons tous faire front commun pour protéger votre archipel de la menace de Akavir, notre ennemi commun.
- Nous ne connaissons pas ce peuple, nous n'avons pas d'ennemi. Ils ne sont jamais venus ici.
- Malheureusement, je ne peux que le craindre. Si les nordiques d'abord, puis nous ensuite, avons découvert votre île, ce n'est qu'une question de temps pour que les monstres d'Akavir ne viennent ici. Et croyez-moi, je ne veux pas vous affoler, mais les akavirois sont loin d'avoir votre raffinement et le notre. Il n'y aura pas de négociations, il n'y en a jamais eu avec eux. Ils envahiront et feront de vous leur esclaves, comme ils l'ont déjà fait en Tamriel par le passé. Face à cette menace, nous avons tout intérêt à coopérer.
La journée s'acheva après que mon maître eut habilement convaincu les wyrmers du danger que représentait leur proche voisin inconnu. Le roi wyrmer paraissait imprésionné par les descriptions des êtres reptilien du continent oriental. Mon maître avait habilement renforcé le côté dramatique de la chose en demandant au chef militaire de narrer les batailles contre ces monstres. Il avait pu ainsi faire l'étalage des beaux discours enseignés à l'académie sur les plus grandes batailles du genre humain contre les monstres venus d'ailleurs.
En cette fin de journée, les négociations avaient déjà abordé le champ du concret et la cession d'un territoire pour notre implantation était, je le crois du moins, autant dans nos esprits que dans celui des wyrmers à présent.
Suite dans le tome VII.
Par Kalar Guio, secrétaire de Huriul, diplomate au service de l'Empereur
La nuit passée à Kéra-Solec fut magnifique. Je ne sais pas ce qu'il en fut pour les autres et je ne peux m'engager pour eux, mais je me rappelle que dans mon cas, elle fut bercée par de doux rêves en parfait accord avec l'exotisme du lieu et de son peuple. Nous fûmes servis comme des princes, chaque membre de l'expédition ayant droit à des égards digne des plus grands diplomates de l'empire.
Avant de rencontrer à nouveau le roi dans le courant de la journée du lendemain, nous avons discuté de ce que nous attendions de ces entrevues. Les militaires voulaient qu'on parle tout de suite en terme de traités et de résultats rapides:
- Nous savons que l'Archipel est habité dorénavant et qu'a cause de ça, on va devoir composer avec les autorités locales pour implanter un fort dans l'Archipel. Nous devons rapidement obtenir l'autorisation de construire un avant-poste renforcé sur l'île ou dans les environs. Nous avons besoin de savoir aussi si nous pourrons compter sur l'aide de ces gens pour les travaux. Vous savez bien que les autorités impériales ont autorisé cette expédition uniquement dans ce but!
- Attendez capitaine, tempérait mon maître, nous ne savons encore que peu de choses de ce peuple. Leur parler tout de suite d'une implantation militaire risquerait de les brusquer, surtout avec ce que nous savons de leur précédente rencontre avec les nordiques. Je pense à chacune de mes paroles aux accords à venir, croyez-moi. Mais sachez qu'il faudra quelques jours avant d'obtenir quoi que ce soit de tenable.
C'est dans ces conditions un peu tendues entre les militaires impériaux et les civils de la mission que les négociations reprirent.
Car ce furent des négociations ce jour-ci. Conformément aux espérances des soldats, les Wyrmers voulurent également passer aux choses concrètes. Ils avaient prévus de parler à plusieurs d'entre nous séparément. En fait, comme trois personnes parlaient notre langue, trois groupes furent formés. Le premier fut celui des savants qui se rendirent au siège de la société de savants wyrmers, le second fut composé des responsables de l'organisation, afin de gérer les questions de l'approvisionnement de notre expédition, de notre logement, et de ce qu'aller devenir de notre premier pied à terre. Enfin le troisième, autour de mon maître, s'entretint avec le roi au sujet des questions plus déterminantes sur le long terme.
- Notre solec désire que nous parlions de l'avenir. Quel avenir pour nos deux peuples à présent?
- Nous ne pouvons plus nous ignorer maintenant que la distance et l'océan ne nous sépare plus. Nos destins sont liés et nous devons tous faire front commun pour protéger votre archipel de la menace de Akavir, notre ennemi commun.
- Nous ne connaissons pas ce peuple, nous n'avons pas d'ennemi. Ils ne sont jamais venus ici.
- Malheureusement, je ne peux que le craindre. Si les nordiques d'abord, puis nous ensuite, avons découvert votre île, ce n'est qu'une question de temps pour que les monstres d'Akavir ne viennent ici. Et croyez-moi, je ne veux pas vous affoler, mais les akavirois sont loin d'avoir votre raffinement et le notre. Il n'y aura pas de négociations, il n'y en a jamais eu avec eux. Ils envahiront et feront de vous leur esclaves, comme ils l'ont déjà fait en Tamriel par le passé. Face à cette menace, nous avons tout intérêt à coopérer.
La journée s'acheva après que mon maître eut habilement convaincu les wyrmers du danger que représentait leur proche voisin inconnu. Le roi wyrmer paraissait imprésionné par les descriptions des êtres reptilien du continent oriental. Mon maître avait habilement renforcé le côté dramatique de la chose en demandant au chef militaire de narrer les batailles contre ces monstres. Il avait pu ainsi faire l'étalage des beaux discours enseignés à l'académie sur les plus grandes batailles du genre humain contre les monstres venus d'ailleurs.
En cette fin de journée, les négociations avaient déjà abordé le champ du concret et la cession d'un territoire pour notre implantation était, je le crois du moins, autant dans nos esprits que dans celui des wyrmers à présent.
Suite dans le tome VII.
tiaremoana- Nombre de messages : 116
Date d'inscription : 03/05/2006
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