Archipel de Pertevue
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[Livre] La découverte de l'Archipel tome IV (enfin la suite)

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Message par OraNN Lun 21 Mai - 20:08

La découverte de l'Archipel de Pertevue, tome quatrième
Par Kalar Guio, secrétaire de Huriul, diplomate au service de l'Empereur

Alors que nous nous attendions à une cité de bois, certes plus grande que le village d'Erridiz, on peut dire que Quiteterre nous scia les jambes. Qui aurait pu imaginer découvrir une telle cité sur cet archipel isolé du reste de Tamriel pendant tant d'années. Qui aurait pu imaginer qu'une telle civilisation, dont nous commencions à peine à découvrir les raffinements, avait pu rester si longtemps ignorée de l'Empire.

Le soldat ne bougea pas pendant quelques secondes comme s'il prenait la mesure de notre émerveillement, puis il nous fit signe d'avancer.

L'escalier majestueux, encore présent aujourd'hui, s'imposait dans notre champ de vision. Mais les pilliers qui se dressait autour de son sommet nous invitait à lever les yeux vers le ciel et à les poser sur les deux tours, oh combien différentes, mais oh combien merveilleuses. L'une s'élevait finement et gracieusement vers les hauteurs. L'autre plus massive imposait son pouvoir sur la partie ouest de la cité. Il ne fait aucun doute que le nom de Quiteterre dans notre langue vient de cette sensation d'ascension éprouvée par les premiers découvreurs de la cité royale, Kéra-Solec.

L'architecture de pierre et de bois était tout bonnement originale. Certes, certains on pû dire qu'il y a une certaines ressemblance avec certaines maisons de Vvardenfell, mais l'effet des poutres, des toîts et des innovations intérieurs (nous apprîmes rapidement que l'eau courante était dans toutes les demeures) ne laissait place à aucun doute sur la capacité de ce peuple.

Notre arrivée fut l'attention de beaucoup. Cependant, force était de constater qu'autant l'accueil avait été unanimement positif dans le village, autant ici l'atmosphère était plus réservée. Certes, des jeunes et des moins jeunes nous saluaient, et lancaient des cris de bienvenu, mais les plus agés étaient plus sceptiques. Avec le recul et les connaissances que nous avons apprises depuis sur ce peuple, il est certain que les discusions sur notre arrivée avaient déjà divisé la société wyrmer, particulièrement à Quiteterre, lieu du pouvoir politique, entre ceux plutôt optimiste quant à notre venue, et ceux qui, au contraire, s'était rapellés la première visite d'étrangers nordiques, qui s'était transformé en guerre ravageuse.

De nombreux autres soldats avaient formé un passage dans la ville. Nous nous dirigions apparemment vers la tour la plus à l'est, celle la plus fine. Nous franchîmes un pont construit avec une technique inédite et étonnante: deux énormes poutres courbées retenaient au moyen de cordes une chaussée plates. Le décors nous surprenait à nouveau.

Arrivés aux pieds du bâtiment, nous comprîmes qu'il s'agissait d'un lieu de décision politique. Une fois à l'intérieur, notre hypothèse fut confirmée par la majesté du lieu. Une immense coupole permettait de dégager un espace ouvert gigantesque. D'énormes pilliers s'élevaient vers le plafond pour le soutenir. Au centre, un grand espace était pourvu de nombreux bancs, pour une assemblée qui, ce jour, n'était pas présente. Des arbres et des fleurs apportaient une touche de raffinement supplémentaire. Les bracnhes les plus hautes n'atteignaient même pas les sommets du bâtiment. Tout autour de la salle, une promenade surplombait l'endroit. Elle était aménagée par des blacons qui mettaient en avant différents sièges. Au fond,le trône du roi nous faisait face.

Il va sans dire que nous le rencontrâme après toutes les attentions d'usage que ce soit celles de l'étiquette cyrodiléennes ou wyrmers. Le roi était entouré d'un faste qui n'avait que peu à envier à l'Empereur. Sa tenue était d'une richesse inouie, toute d'or vétue, de même que celle des conseillés. Nous reconnûmes non sans surprise le noble d'Erridiz. Il était venu rapidement dasn la capitale et arborait à présent la tenue de cérémonie des conseillés.

Peu après ce premier contact, nous fûmes invité à redescendre au centre de la pièce. Mon maître en tant que diplomate, se plaça alors au plus prêt du trône. Le reste de notre délégation dont moi-même resta en retrait sur les bancs de la salle. La difficile première négociation allait commencer, alors que nous ne comprenions pas la langue de nos hôtes.

A ce moment, un wyrmer, vêtu différemment des autres - il portait une longue tunique blanche et noir - arriva dans le Conseil et vint se placer à côté du roi. Il échangea quelques mots murmurés avec le roi. Enfin, il se tourna vers nous et dit d'une voix hésitante:
- Solec Kray Semrélya est heureux accueillir vous ambassadeurs de paix.

Suite dans le tome 5
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Message par tiaremoana Mer 30 Mai - 7:56

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tiaremoana
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Message par tiaremoana Mer 6 Juin - 7:05

La découverte de l'Archipel de Pertevue, tome quatrième
Par Kalar Guio, secrétaire de Huriul, diplomate au service de l'Empereur

Alors que nous nous attendions à une cité de bois, certes plus grande que le village d'Erridiz, on peut dire que Quiteterre nous scia les jambes. Qui aurait pu imaginer découvrir une telle cité sur cet archipel isolé du reste de Tamriel pendant tant d'années. Qui aurait pu imaginer qu'une telle civilisation, dont nous commencions à peine à découvrir les raffinements, avait pu rester si longtemps ignorée de l'Empire.

Le soldat ne bougea pas pendant quelques secondes comme s'il prenait la mesure de notre émerveillement, puis il nous fit signe d'avancer.

L'escalier majestueux, encore présent aujourd'hui, s'imposait dans notre champ de vision. Mais les piliers qui se dressait autour de son sommet nous invitait à lever les yeux vers le ciel et à les poser sur les deux tours, oh combien différentes, mais oh combien merveilleuses. L'une s'élevait finement et gracieusement vers les hauteurs. L'autre plus massive imposait son pouvoir sur la partie ouest de la cité. Il ne fait aucun doute que le nom de Quiteterre dans notre langue vient de cette sensation d'ascension éprouvée par les premiers découvreurs de la cité royale, Kéra-Solec.

L'architecture de pierre et de bois était tout bonnement originale. Certes, certains on pu dire qu'il y a une certaines ressemblance avec certaines maisons de Vvardenfell, mais l'effet des poutres, des toits et des innovations intérieures (nous apprîmes rapidement que l'eau courante était dans toutes les demeures) ne laissait place à aucun doute sur les capacités de ce peuple.

Notre arrivée attira l'attention de beaucoup de citoyens. Cependant, force était de constater qu'autant l'accueil avait été unanimement positif dans le village, autant ici l'atmosphère était plus réservée. Certes, des jeunes et des moins jeunes nous saluaient, et lançaient des cris de bienvenue, mais les aînés semblaient plus sceptiques. Avec le recul et les connaissances que nous avons apprises depuis sur ce peuple, il est certain que les discussions sur notre arrivée avaient déjà divisé la société wyrmer, particulièrement à Quiteterre, lieu du pouvoir politique, entre ceux plutôt optimiste quant à notre venue, et ceux qui, au contraire, s'était rappelés la première visite d'étrangers nordiques, qui s'était transformé en guerre ravageuse.

De nombreux autres soldats avaient délimité un passage dans la ville. Nous nous dirigions apparemment vers la tour la plus à l'est, la plus élancée. Nous franchîmes un pont construit avec une technique inédite et étonnante: deux énormes poutres courbées supportaient une chaussée plate retenue par un entrelas de cordes. Les décors nous surprenaient à nouveau.

Arrivés au pied du bâtiment, nous comprîmes qu'il s'agissait d'un lieu de décision politique. Une fois à l'intérieur, notre hypothèse fut confirmée par la majesté du lieu. Une immense coupole permettait de dégager un espace ouvert gigantesque. D'énormes piliers s'élevaient vers le plafond pour le soutenir. Au centre, un grand espace était pourvu de nombreux bancs, pour une assemblée qui, ce jour, n'était pas présente. Des arbres et des fleurs apportaient une touche de raffinement supplémentaire. Les branches les plus hautes n'atteignaient même pas les sommets du bâtiment. Tout autour de la salle, une promenade surplombait l'endroit. Elle était aménagée par des balcons qui mettaient en avant différents sièges. Au fond, le trône du roi nous faisait face.

Il va sans dire que nous le rencontrâmes après toutes les attentions d'usage, que ce soit celles de l'étiquette cyrodiléennes ou wyrmers. Le roi était entouré d'un faste qui n'avait que peu à envier à l'Empereur. Sa tenue était d'une richesse inouïe, toute d'or revêtue, de même que celle des conseillers. Nous reconnûmes non sans surprise le noble d'Erridiz. Il était venu rapidement dans la capitale et arborait à présent la tenue de cérémonie des conseillers.

Peu après ce premier contact, nous fûmes invité à redescendre au centre de la pièce. Mon maître en tant que diplomate, se plaça alors au plus prêt du trône. Le reste de notre délégation dont moi-même resta en retrait sur les bancs de la salle. La difficile première négociation allait commencer, alors que nous ne comprenions pas la langue de nos hôtes.

A ce moment, un wyrmer, vêtu différemment des autres - il portait une longue tunique blanche et noir - arriva dans le Conseil et vint se placer à côté du roi. Il échangea quelques mots murmurés avec le roi. Enfin, il se tourna vers nous et dit d'une voix hésitante:
- Solec Kray Semrélya est heureux accueillir vous ambassadeurs de paix.

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