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[Livre] Histoire des héros wyrmers I (Okensh)

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Message par OraNN Ven 18 Mai - 9:37

Tome I: l'Arrivée


La vie était tranquille ici. Tous vivaient heureux. Pas de soucis, pas de lourde contrainte. Personne n'avaient connu la guerre... jusqu'au jour où...

Oui, je veux parler des Nordiques. Et voilà comment cela à commencer...

Un beau matin, Mèreinéy, un chasseur du village, me réveilla alors que le soleil ne s'était même pas présenter. Il venait de voir des géants à la peau fer arrivaient de par les mers sur Kédizis [note du traducteur: nom wyrmer pour désigner l'île de Pertevue]. Je me mit à rire puis lui demanda de me laissais dormir. Je me souvient encore de cette réaction. Voyant mon refut de le croire, Mèreinéy amena son chef, moi, près de la falaise, où se trouvait soit disant ces géants. Mes yeux me trahirèrent? Des centaines de géants démonter plache à planche des maisons flottantes. Ils fesaient bien trois métres de haut, certains dont la peau semblait plus commune avec des cheveux de la couleur du sable qui descender jusqu'aux pieds, de leurs mains ils semblaient pouvoir écraser un Guar.

C'est comme cela que je décris aux chefs des villages voisins les envahisseurs bien que j'emplifiaislargement, mais la première fois que je les aient vu, j'avais été très impréssioner.

Je demandais aux chefs des autres villages de venir au mien pour voir ce que les Wyrmers allaient faire.

Quatre jours plus tard, se teint la réunion. Tous était présent: Kahyérr, fort rustre personnage dirigeant Ariddan; Hartèndis, le puissant chasseur de Jarn-Kayl; Lorken, très jeune chef de Préadiz mais brilliant comme personne; Grywitt, sage veillard de Xhaan, et enfin moi, Sisdinn d'Erridiz.

Je leur redis se que j'avais vu.

Puis, nous discutèrent, longtemps, car la décition n'était pas simple. C'est vrai, les Wyrmers ne connurent pas d'étrangers jusqu'alors. Enfin, nous aboutîmes aux conclusions suivantes: Si on ne les connait pas, nous ne pouvons pas les juger. Nous décidîmes donc de les rencontrés.

Seulement, personne ne souhaiter y aller. La peur nous ramener tout de même à la raison.

Au plus sage d'y aller!

C'était décider, Grywitt était de loin le plus réspectable. Vivant depuis plus de soisante-dix récoltes, Grywitt avait eu le temps de parfaire sa sagesse.

Il partit avec Mèreinéy. Tout deux s'en allèrent le lendemain au lever du jour. Pendant ce temps, les autres chefs et moi, ûmes un moment pour parler. Les discusions allaient de la chasse et de la nature jusqu'aux femmes. Puis, je me retrouva seul avec Lorken.

Cette personne si brillante soit-elle ne savait ni lire ni écrire, chose extrêment courante à l'époque car, appart moi, seul une dizaine de personne connaisser la langue et l'orthographe. Seulement, Lorken semblait perturber. Pour lui, quelqu'un d'intelligent savait lire et écrire. Il voulait apprendre. Il me demanda de lui inculquer.

Tard le même soir, lorsque le soleil s'obscurcit, Grywitt revînt seul, se traînant pour marcher. Une flêche dans la jambe droite et le visage en sang.

Lorken l'avait dit à la réunion. Leur culture est différente et qu'à la vue des émissaires, ils ne réagiraient pas forcément comme nous réagirions. Je le compris alors.

Grywitt tomba. Tous se précipitèrent vers lui. Nous devions aider l'un des notres. Nous voulions aussi savoir ce qu'il s'était passer exactement avec les Nordiques.

Grywitt avoua que Méreinèy avait été tuer par les barbares. Ils n'avaient pas chercher à les écouter, nous dit-il. Grywitt pensait que les sauvages étaient venu sur l'île pour la conquérir. Lorken dit qu'il pensait la même chose.

De ses yeux ensanglantés, Grywitt me regarda. Ses mains fébriles tremblaient. Sa respiration, bruyante et irrégulière, semblait plus forte que le son de ses paroles. Son sang s'étalait sur le sol, il prit la flêche dans sa main et tira d'un coup sec. Un cri de douleur retantit dans la nuit glacée. Il mit la flêche devant lui pour la voir mais ses doigts lachèrent prise et sa main tomba en arrière, tout comme sa tête. Il était mort.

Dès le lendemain, Lorken, Hartèndis et moi partirent pour Xhaan, le village de Grywitt, avec sa dépouille envelloper dans un drap morturaire. Je sentais qu'il allé s'y passer quelque chose avant même d'y être.

Je laissais Dolayhosinn dirigé Erridiz. C'était un bon guerrier, il serait être chef temporairement.

Kahyèrr quant à lui retourna à Ariddan car le village était peut-être menacer par les Nordiques dont la base se situé près de la falaise, dans la baie.

Nous traversîmes la campagne entre Erridiz et Xhaan. Les chefs, avec le peuple a diriger, avaient peu l'occasion de voyager sur les terres de Kédizis.

J'avais, avant de partir, prit sur moi un carnet de note, se qui se révéla très utile.

Note du traducteur

Ce texte est la traduction en langue commune du texte original écrit en basique wyrmer. Il est important de rapeller que le texte d'origine à été écrit il y a très longtemps, Sisdinn a écrit son oeuvre à la fin de sa vie alors qu'il a vécu ces évenement vers le début de son existance, quelques éléments sont faux. Notez que le passage du wyrmer en langue impériale ést très difficile, car les Wyrmers de cette époque n'avaient aucune base de langue commune, se qui n'est plus le cas après l'arriver des Nordiques, ainsi quelques éléments ont quelque peu dénaturé la traduction.

L'Histoire des héros Wyrmers

Tome I: l'Arrivée

Sisdinn

traduis par Werin Thrémac
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[Livre] Histoire des héros wyrmers I (Okensh) Empty Tome I corrigé

Message par Yr d'Uab Lun 21 Mai - 8:55

Tome I: l'Arrivée

La vie était tranquille ici. Tous vivaient heureux. Pas de soucis, pas de lourde contrainte. Personne n'avait connu la guerre... Jusqu'au jour où...

Oui, je veux parler des Nordiques. Et voilà comment cela a commencé...

Un beau matin, Mèreinéy, un chasseur du village, me réveilla alors que le soleil ne s'était même pas présenté. Il venait de voir des géants à la peau de fer arriver de par les mers sur Kédizis [note du traducteur: nom wyrmer pour désigner l'île de Pertevue].

Je me mis à rire puis lui demandais de me laisser dormir. Je me souviens encore de cette réaction. Voyant mon refus de le croire, Mèreinéy amena son chef, moi, près de la falaise, où se trouvait soi-disant ces géants. Mes yeux me trahirent-ils ? Des centaines de géants démontaient planche par planche des maisons flottantes. Ils faisaient bien trois métres de haut, avec des cheveux de la couleur du sable qui descendaient jusqu'aux pieds. De leurs mains ils semblaient pouvoir écraser un Guar.

C'est comme cela que je décris aux chefs des villages voisins les envahisseurs, bien que j'exagérais largement, mais la première fois que je les avais vu, j'avais été très impressionné.

Je demandais aux chefs des autres villages de venir au mien pour voir ce que les Wyrmers allaient faire.

Quatre jours plus tard, se tînt la réunion. Tous était présent :
Kahyérr, fort rustre personnage dirigeant Ariddan ;
Hartèndis, le puissant chasseur de Jarn-Kayl ;
Lorken, très jeune chef de Préadiz mais brillant comme personne ;
Grywitt, sage veillard de Xhaan ;
et enfin moi, Sisdinn d'Erridiz.

Je leur répétais ce que j'avais vu.

Puis nous discutâmes longtemps, car la décision n'était pas simple. C'est vrai, les Wyrmers n'avaient pas connu d'étrangers jusqu'alors. Enfin, nous aboutîmes à la conclusion suivante : si on ne les connait pas, nous ne pouvons pas les juger. Nous décidâmes donc de les rencontrer.

Seulement, personne ne souhaiter y aller. La peur nous ramena tout de même à la raison.

Au plus sage d'y aller!

C'était décidé, Grywitt était de loin le plus respectable. Vivant depuis plus de soisante-dix récoltes, Grywitt avait eu le temps de parfaire sa sagesse.

Il partit avec Mèreinéy. Tout deux s'en allèrent le lendemain au lever du jour. Pendant ce temps, les autres chefs et moi eûmes un moment pour parler. Les discussions allaient de la chasse et de la nature jusqu'aux femmes. Puis, je me retrouvais seul avec Lorken.

Cette personne, si brillante soit elle, ne savait ni lire ni écrire, chose extrêment courante à l'époque car, excepté moi, seule une dizaine de personne connaissaient la langue et l'orthographe. Seulement, Lorken semblait perturbé. Pour lui, quelqu'un d'intelligent devait savoir lire et écrire. Il voulait apprendre. Il me demanda de lui inculquer.

Tard le même soir, lorsque le soleil s'obscurcit, Grywitt revînt seul, se traînant pour marcher, une flèche dans la jambe droite et le visage en sang.

Lorken l'avait dit à la réunion. Leur culture est différente et à la vue des émissaires, ils ne réagiraient pas forcément comme nous réagirions. Je le compris alors.

Grywitt tomba. Tous se précipitèrent vers lui. Nous devions aider l'un des nôtres. Nous voulions aussi savoir ce qu'il s'était passé exactement avec les géants [note du traducteur : les Nordiques].

Grywitt avoua que Méreinèy avait été tué par les barbares. Ils n'avaient pas cherché à les écouter, nous dit-il. Grywitt pensait que les sauvages étaient venu sur l'île pour la conquérir. Lorken dit qu'il pensait la même chose.

De ses yeux ensanglantés, Grywitt me regarda. Ses mains fébriles tremblaient. Sa respiration, bruyante et irrégulière, semblait plus forte que le son de ses paroles. Son sang s'étalait sur le sol, il prit la flèche dans sa main et tira d'un coup sec. Un cri de douleur retantit dans la nuit glacée. Il mit la flèche devant lui pour la voir mais ses doigts lachèrent prise et sa main tomba en arrière, tout comme sa tête. Il était mort.

Dès le lendemain, Lorken, Hartèndis et moi partîment pour Xhaan, le village de Grywitt, avec sa dépouille enveloppée dans un drap morturaire. Je sentais qu'il allait s'y passer quelque chose avant même d'y être.

Je laissais Dolayhosinn diriger Erridiz. C'était un bon guerrier, il saurait être chef temporairement.

Kahyèrr quant à lui retourna à Ariddan car le village était peut-être menacé par les Nordiques dont la base se situait près de la falaise, dans la baie.

Nous traversâmes la campagne entre Erridiz et Xhaan. Les chefs, avec le peuple à diriger, avaient peu l'occasion de voyager sur les terres de Kédizis.

J'avais, avant de partir, pris sur moi un carnet de note, ce qui se révéla très utile.


Note du traducteur :

Ce texte est la traduction en langue commune du texte original écrit en basique wyrmer. Il est important de rappeler que le texte d'origine a été écrit il y a très longtemps. Sisdinn a écrit son oeuvre à la fin de sa vie alors qu'il a vécu ces évènement vers le début de son existence. Quelques éléments sont douteux. Notez que le passage du wyrmer en langue impériale est très difficile, car les Wyrmers de cette époque n'avaient aucune base de langue commune, ce qui n'est plus le cas après l'arrivée des Nordiques, ainsi quelques éléments ont quelque peu dénaturé la traduction.

L'Histoire des héros Wyrmers

Tome I: l'Arrivée

Sisdinn

traduit par Werin Thrémac

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Message par tiaremoana Mer 23 Mai - 7:31

Tome I: l'Arrivée

La vie était tranquille ici. Tous vivaient heureux. Pas de soucis, pas de lourde contrainte. Personne n'avait connu la guerre... Jusqu'au jour où...

Oui, je veux parler des Nordiques. Et voilà comment cela a commencé...

Un beau matin, Mèreinéy, un chasseur du village, me réveilla alors que le soleil ne s'était même pas présenté. Il venait de voir des géants à la peau de fer arriver de par les mers sur Kédizis [note du traducteur: nom wyrmer pour désigner l'île de Pertevue].

Je me mis à rire puis lui demandais de me laisser dormir. Je me souviens encore de cette réaction. Voyant mon refus de le croire, Mèreinéy m’amena moi, son chef, près de la falaise, où se trouvaient soi-disant ces géants. Mes yeux me trahirent-ils ? Des centaines de géants démontaient planche par planche des maisons flottantes. Ils faisaient bien trois mètres de haut, avec des cheveux couleur sable qui descendaient jusqu'aux pieds. De leurs mains ils semblaient pouvoir écraser un Guar.

C'est comme cela que je décrivis aux chefs des villages voisins les envahisseurs, bien que j'exagérais largement, mais la première fois que je les avais vu, j'avais été très impressionné.

Je leur demandais de venir jusqu’à mon village afin de définir notre comportement vis à vis de ces intrus.

Quatre jours plus tard, se tînt la réunion. Tous était présent :
Kahyérr, fort rustre personnage dirigeant Ariddan ;
Hartèndis, le puissant chasseur de Jarn-Kayl ;
Lorken, très jeune chef de Préadiz mais brillant comme personne ;
Grywitt, sage vieillard de Xhaan ;
et enfin moi, Sisdinn d'Erridiz.

Je leur répétais ce que j'avais vu.

Puis nous discutâmes longtemps, car la décision n'était pas simple. C'est vrai, les Wyrmers n'avaient pas connu d'étrangers jusqu'alors. Enfin, nous aboutîmes à la conclusion suivante : nous ne pouvions les juger et prendre une décision sans les connaître. Nous décidâmes donc de les rencontrer.

Seulement, personne ne souhaiter y aller. La peur nous ramena tout de même à la raison.

Au plus sage de se dévouer!

C'était décidé, Grywitt était de loin le plus respectable. Vivant depuis plus de soixante-dix récoltes, Grywitt avait eu le temps de parfaire sa sagesse.

Il partit avec Mèreinéy. Tout deux s'en allèrent le lendemain au lever du jour. Pendant ce temps, les autres chefs et moi continuâmes notre conseil. Les discussions allaient de la chasse et de la nature jusqu'aux femmes. Puis, je me retrouvais seul avec Lorken.

Cette personne, si brillante soit elle, ne savait ni lire ni écrire, chose extrêmement courante à l'époque car, excepté moi, seule une dizaine de personne connaissaient la langue et l'orthographe. Seulement, Lorken semblait perturbé. Pour lui, quelqu'un d'intelligent devait savoir lire et écrire. Il voulait apprendre. Il me demanda de lui inculquer mon savoir.

Tard le même soir, alors que le soleil s'obscurcissait, Grywitt revînt seul, se traînant pour marcher, une flèche dans la jambe droite et le visage en sang.

Lorken l'avait dit à la réunion. Leur culture étant différente, à la vue des émissaires, ils ne réagiraient pas forcément comme nous. Je le compris alors.

Grywitt tomba. Tous se précipitèrent vers lui. Nous devions aider l'un des nôtres. Nous voulions aussi savoir ce qu'il s'était passé exactement avec les géants [note du traducteur : les Nordiques].

Grywitt avoua que Méreinèy avait été tué par les barbares. Ils n'avaient pas cherché à les écouter, nous dit-il. Grywitt pensait que les sauvages étaient venus sur l'île pour la conquérir. Lorken dit qu'il pensait la même chose.

De ses yeux ensanglantés, Grywitt me regarda. Ses mains fébriles tremblaient. Sa respiration, bruyante et irrégulière, semblait plus forte que le son de ses paroles. Son sang s'étalait sur le sol, il prit la flèche dans sa main et tira d'un coup sec. Un cri de douleur retentit dans la nuit glacée. Il mit la flèche devant lui pour la voir mais ses doigts lâchèrent prise et sa main retomba, sa tête se renversa en arrière. Il était mort.

Dès le lendemain, Lorken, Hartèndis et moi-même partîmes pour Xhaan, le village de Grywitt, avec sa dépouille enveloppée dans un drap mortuaire. Je sentais qu'il allait s'y passer quelque chose avant même d'y être.

Je laissais Dolayhosinn diriger Erridiz. C'était un bon guerrier, il saurait être chef temporairement.

Kahyèrr quant à lui retourna à Ariddan car son village était peut-être menacé par les Nordiques dont la base se situait près de la falaise, dans la baie.

Nous traversâmes la campagne entre Erridiz et Xhaan. Les chefs, avec leur peuple à diriger, avaient peu l'occasion de voyager sur les terres de Kédizis.

J'avais, avant de partir, pris sur moi un carnet de notes, ce qui se révéla très utile.


Note du traducteur:

Ce texte est la traduction en langue commune du texte original écrit en basique wyrmer. Il est important de rappeler que le texte d'origine a été écrit il y a très longtemps. Sisdinn a écrit son oeuvre à la fin de sa vie alors qu'il a vécu ces évènements vers le début de son existence. Quelques éléments sont douteux. Notez que le passage du wyrmer en langue impériale est très difficile, car les Wyrmers de cette époque n'avaient aucune base de langue commune, ce qui n'est plus le cas après l'arrivée des Nordiques, ainsi quelques éléments ont quelque peu dénaturé la traduction.

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